[1] Champs de recherche interdisciplinaire visant à décrire les sciences telles qu’elles se pratiquent au quotidien dans leurs dimensions social, politique et économique.
[2] Dominique Pestre (2006), Introduction aux Science Studies, Chapitre 5 Femmes, genre et science : objectivité et parti pris.
[3] « Par « sexiste », d’une part, le fait que ces savoirs reproduisent les préjugés les plus ordinaires quant aux relations entre les hommes et les femmes, qu’ils en font l’ossature de leur discours et les légitiment. De l’autre, de naturaliser la différence et/ou l’inégalité femmes/hommes »
[4] Florence Piron (2019), « L’amoralité du positivisme institutionnel. L’épistémologie du lien comme résistance » in Et si la recherche scientifique ne pouvait pas être neutre? Sous la direction de Laurence Brière, Mélissa Lieutenant-Gosselin et Florence Piron, chapitre 9, pp. 135-168. Québec : Éditions science et bien commun.
[5] Dominique Pestre (2006), Introduction aux Science Studies, Op. cit.
[6] Deux jours avant le second tour de la présidentielle, le 5 mai 2017, Emmanuel Macron avait promis d’être « intraitable » face aux « comportements déviants » de certains policiers, sur le plateau de Mediapart.
[7] Dominique Pestre (2006), Introduction aux Science Studies, Op. cit.
[8] Ibid.
[9] Mélanie Marcel, “White privilege is embedded in your daily objects”, SoScience, 3 juin 2020.
[10] Pauline Gandré, « Les sciences : un nouveau champ d’investigation pour les gender studies », Idées économiques et sociales, 2012/1 (N° 167), p. 52-58.
[11] Eric Fassin, Cours particulier avec Eric Fassin (1/2), Les Couilles sur la table, 21 juin 2018.
[12] Florence Piron (2019), « L’amoralité du positivisme institutionnel. L’épistémologie du lien comme résistance », Op. cit.
[13] Ibid.
[14] « Maboula Soumahoro, l’identité augmentée ? », La Grande table idées, France Culture, 21 février 2020.
[15] Dominique Pestre (2006), Introduction aux Science Studies, Op. cit.
[16] « Maboula Soumahoro, l’identité augmentée ? », Op. cit.
[17] Bill Ashcroft, Gareth Griffiths et Helen Triffin (sous la dir. de) (1995), The Postcolonial Studies Reader, Routledge, Londres.
[18] Florence Piron (2019), « L’amoralité du positivisme institutionnel. L’épistémologie du lien comme résistance », Op. cit.
[19] Mame-Fatou Niang, Julien Suaudeau, « Pour un universalisme antiraciste », Slate, 24 juin 2020.
[20] Florence Piron (2019), « L’amoralité du positivisme institutionnel. L’épistémologie du lien comme résistance », Op. cit.
[21] « Maboula Soumahoro, l’identité augmentée ? », Op. cit.